
Toutes sortes de bateaux : ferry ou canonnière (et toujours dans les brumes : lacustres, estuaires, fluviales…) ; des cordes timbrées (électriques ou acoustiques ; Occitanie, Alpes du sud, Tamise, Tyne & Wear ou La Havane s/ Hudson) ; Allan Ginsberg en banlieusarde hillbilly ; les petits oiseaux qui mangent les abeilles… Des pyromanes ; des femmes, des hommes ; des cernes et toujours pas sommeil.
Au bout : une certaine aube ?
…
Des écarts de dynamique et des fréquences-sursauts laissés quasi tels-quels ; parce que la compression compulsive est la névrose d’un monde qui veut trop bien dormir.
PLAYLIST (pour les non-téméraires) :
1/ Selvhenter : Late Night Ferry (Motions of Large Bodies)
2/ Swell Maps : Gunboats (A Trip to Marineville)
3/ Radikal Satan : Se Incendian (Viento del Este, Agua Como Peste)
4/ Richard Dawson : Doubting Thomas (Nothing Important)
5/ Violoneuses : Nosferatu/Païre/N’Ait Tant/Coulée/Los Chomheilos (Violoneuses)
6/ Charlene Darling (mit Inéès) : 4AM Blues (Mourning Tooth)
7/ Alfredo Triff : Club Casino de la Playa (21 Broken Melodies at Once)
8/ Golem Mécanique : Aiguiser le Protocole (Housni)
9/ Zothique : Limbo (EP Limbo)